Quand j'étais encore élève interne dans un collège à Rabat, j’étais efféminé, timide, poltron et effacé. Par conséquent, les internes plus âgés que moi et même les surveillants profitaient
largement de ma passivité. Je suis devenu leur pédé facile à baiser, leur femelle qui acceptait, qui subissait, qui ne parvenait pas à dire non. En un mot, j’étais devenu « le
vide-couilles » du collège !
Avec le temps, j’ai aimé cela et m’y suis habitué : me sentir une femelle soumise, une pute.
J’adorais sentir la bite des élèves aller et venir entre mes cuisses, s’insinuer lentement mais sûrement entre mes fesses pour trouver son passage au fond de mon anus que je considérais comme un
vagin.
Rien que le fait d’être baisé me faisait éjaculer sans même me masturber !
Ainsi, chaque nuit, à 22 h, après que le maître d’internat éteint les lumières dans notre dortoir, je dormais nu, à plat ventre sous mes couvertures et j’attendais.
Presque 2 à 3 fois par semaine, vers 2h du matin quand tous les autres internes étaient profondément endormis, le même groupe, composé de 3 élèves, se relayait sur moi et me baisait à tour de
rôle mais toujours dans le plus grand silence afin de ne réveiller personne !
Moi, je faisais toujours semblant d’être endormi, comme étant dans un état léthargique afin de leur faire croire que je ne sentais et ne remarquais rien ! Je ne donnais aucun signe, ni
d’approbation, ni de refus.
J’étais devenu leur femelle, leur vide-couilles, leur femme !
Quand j'étais encore élève interne dans un collège à Rabat, j’étais efféminé, timide, poltron et effacé. Par conséquent, les internes plus âgés que moi et même les surveillants profitaient largement de ma passivité. Je suis devenu leur pédé facile à baiser, leur femelle qui acceptait, qui subissait, qui ne parvenait pas à dire non. En un mot, j’étais devenu « le vide-couilles » du collège !
Avec le temps, j’ai aimé cela et m’y suis habitué : me sentir une femelle soumise, une pute.
J’adorais sentir la bite des élèves aller et venir entre mes cuisses, s’insinuer lentement mais sûrement entre mes fesses pour trouver son passage au fond de mon anus que je considérais comme un vagin.
Rien que le fait d’être baisé me faisait éjaculer sans même me masturber !
Ainsi, chaque nuit, à 22 h, après que le maître d’internat éteint les lumières dans notre dortoir, je dormais nu, à plat ventre sous mes couvertures et j’attendais.
Presque 2 à 3 fois par semaine, vers 2h du matin quand tous les autres internes étaient profondément endormis, le même groupe, composé de 3 élèves, se relayait sur moi et me baisait à tour de rôle mais toujours dans le plus grand silence afin de ne réveiller personne !
Moi, je faisais toujours semblant d’être endormi, comme étant dans un état léthargique afin de leur faire croire que je ne sentais et ne remarquais rien ! Je ne donnais aucun signe, ni d’approbation, ni de refus.
J’étais devenu leur femelle, leur vide-couilles, leur femme !