Nuit blanche avec mon jeune amant

On se repose en regardant la télé. Il est 22h et ma femme Peggy nous annonce qu'elle est fatiguée et va dormir, mais aussi qu'elle nous a préparé la chambre d'amis. Je comprends alors que je vais dormir avec son amant. Dormir! Pas sûr!
On regarde la télé jusque vers minuit, un film érotique, puis son amant éteint le poste et je le suis dans la chambre. Il ferme la porte et enlève son pyjama, ce qui me confirme ses intentions. Je me défringue moi aussi, et on se retrouve nus comme des vers, devant l'armoire à glace. Je me plaque contre lui, pose mes mains sur ses hanches, puis glisse rapidement entre ses cuisses. Je pelote ses couilles, caresse son manche, l'embrasse dans le cou, sur la joue, jusque sur ses lèvres. Il ne fait rien pour me refuser sa bouche, et on se roule une longue pelle gourmande. Sa bite est bien grosse et dure dans ma main, et je m'accroupis devant son merveilleux sexe:
- Ohhhhh, que tu es beau mon chéri ! Tu es mon plus bel amant, mon plus jeune amant, mais surtout mon meilleur amant. Cette bite, cette bite mon amour, elle me rend fou !
Puis je le prends en bouche, et me vois le sucer dans la glace:
- Regarde comme c'est beau deux mecs ensemble. Tu l'aimes, la bouche de ta vieille salope?
- Ouiiii, grosse pute, mais j'aime encore plus ton cul. Viens te coucher, j'ai envie de baiser.
On s'allonge sur le lit, et il éteint la lumière pour m'aimer dans le noir, sans doute imaginer ma femme. Je me tourne pour lui offrir mon trou à bites, et il me pénètre sans hésiter. Il me lime sans arrêt, longtemps, très longtemps. On est parti sur un côté, puis sans se retirer, il se retrouve sur moi qui suis alors à plat ventre, puis m'embroche sur l'autre côté. Il se retire après une longue baise et rallume la lumière:
- Suce-moi, salaud. Suce-moi bien comme le fait ta femme !
Il est sur le dos, le manche dressé, et je m'installe entre ses cuisses ouvertes. Je le suce avec application, en le regardant dans les yeux pour lui montrer combien j'aime sa queue. Il résiste longtemps à ma bouche pourtant experte, mais finit par décharger avec de longs râles. J'avale tout, en bonne salope, nettoie sa queue, puis fourre ma langue dans sa raie. Il relève ses jambes et s'offre à moi. Je lui ouvre le fion et viens sur lui pour le baiser de face. Je trique dur, et il me laisse le pénétrer. Je le lime de toutes mes forces, et ma bouche reprend la sienne qui ne
demande que çà.
Je suis moins performant que lui, et alors qu'il m'a tringlé plus d'une heure, et s'est fait sucer longuement, je vais lamentablement jouir au bout de 3 minutes. Il n'a jamais bouffé que son sperme, mais il accepte de goûter le mien. Je viens dans sa bouche et il se charge de me vidanger.
On éteint la lumière pour se reposer. Je n'ai pas eu le temps de m'endormir, que je sens sa bite dure se frotter à moi:
- Tourne-toi salaud, donne-moi ton cul !
J'obéis comme une bonne pute soumise, et m'offre sans rechigner. Son gland a vite fait de transpercer ma rondelle, et c'est parti pour une nouvelle longue ramonée. Il me lime sans relâche, et je mouille du cul comme jamais. Puis il se retire, allume la lumière, et veut que je l'enfourche. Je suis sur lui et me remets sa bite dans le cul.
Puis je monte et descends sur son manche, aussi bien que sur un gode ventouse. Il se régale à me voir faire, m'insulte, m'encourage. Je lui fais bien reluire la queue, jusqu'à ce qu'il sente sa sève monter. Je me dégage et le finis avec ma bouche. Il décharge encore en abondance, et j'avale tout pour ne pas changer.
On est à nouveau dans le noir, pour essayer de dormir. Un sommeil très rapide comme certains savent le faire, et le voilà à nouveau opérationnel. Il me prend sans un mot, sans me demander mon avis. De toute façon, je suis trop fatigué pour lui résister, et puis j'aime trop ça. Il me défonce toujours aussi vigoureusement et longtemps, puis se retire sans avoir joui. Il n'arrive ni à jouir, ni à débander, et veut quelque chose de chaud pour arriver à ses fins. Il rallume une fois encore:
- Ca te plait de te voir avec un autre mec! Viens salope, je vais t'enculer devant la glace.
Je suis à quatre pattes sur le lit, lui debout, et il m'enfile devant le miroir.
- Hummmmm, tu es une bonne pute toi, j'ai autant de plaisir qu'avec ta femme. Si on m'avait dit qu'un mec me ferait autant bander! Tu es bon à tringler mon salaud, quel délice ton putain de trou !
Il s'active entre mes reins, me défonce la rondelle, et je jouis comme une chienne, sans même me masturber. Il se retire, et je m'allonge sur le dos. Il passe une jambe par dessus moi, et son pieu s'enfonce dans ma bouche, au maximum. Il est tout en moi, son gland dans ma gorge, ses couilles sur mon nez. Il reste enfoui profond, et ne se retire que pour me laisser respirer. Il recommence à plusieurs reprises, et alterne avec ses couilles qu'il pousse dans ma bouche. Il nous regarde dans la glace, et s'excite:
- Tu es un putain de chien, même ta femme n'est pas aussi salope. Ahhhh, tu aimes la queue, viens je vais t'en donner encore !
Il se retire et m'entraîne devant la glace. Je suis à genoux devant son zob superbement dressé. Il pénètre ma bouche ouverte, me saisit par les cheveux, et me fait aller et venir sur sa longue bite:
- Regarde-toi pute, regarde quel gobe queue tu es!
- Ouiiii, baise-moi la bouche, c'est bon !
- Pute, traînée, tu l'aimes ma grosse queue comme ta femme?
- Oh, oui, mon chéri, elle est trop belle, et trop bonne !
Il me balade sur son phallus de rêve, jusqu'à enfin sentir son plaisir venir. Il se retire et se branle à mort en me demandant de bien ouvrir ma bouche:
- Je vais te gaver salaud, regarde bien comme je vais t'encrémer la gueule. Oh, je n’y crois pas qu'un mec marié puisse me faire jouir comme tu le fais. Prends salaud, prends, mais n'avale pas, pas encore, garde tout !
Il sait que j'adore les insultes, autant que la queue et le foutre, et il ne s'en prive pas. Il décharge en moi, jusqu'à la dernière goutte, et continue à aller et venir dans son liquide chaud. Il me relève par la tignasse et me roule une pelle au sperme. Il se détache, et en a autant que moi dans sa bouche. Il me penche la tête en arrière, ouvre ma bouche, et crache tout dedans:
- Avale fumier, et dis-moi combien tu l'aimes ma sauce !
Je dévore tout, et vante sa semence…

On est au petit matin, il m'a baisé pendant des heures durant la nuit, et on s'endort enfin.
Je suis réveillé par la lumière. Je me dis que Guillaume veut encore baiser, mais il dort profondément à mes côtés. Je réalise alors que ma femme Peggy est là. Il est 9h, elle est en pleine forme et veut qu'on s'occupe d'elle. Son amant est hors course, profondément endormi, et elle m'invite à la suivre dans sa chambre.
J'ai mal dormi, mais je me suis surtout fait baiser, bien plus que je n'ai baisé, et je ne peux refuser son offre. On se retrouve dans son lit, dans les bras l'un de l'autre, à poil, et j'ai du mal à réaliser qu'une aussi jolie femme puisse vouloir d'un mari cocu et pédé comme moi. Je lui pose la question, et elle me répond qu'elle est une vicieuse qui
aime les gros porcs pervers et cocus. Elle a trouvé les mots pour m'exciter, et je bande dans sa main caressante.
On s'embrasse, on se masturbe, on se décide pour un 69. J'ai ma bite dans sa bouche, et ma langue dans son vagin, lorsque je sens une chaleur dans mon dos. C'est Guillaume qui s'est décidé à nous rejoindre. Il bande &

c'est encore coupé... faut finir la fin

On s'embrasse, on se masturbe, on se décide pour un 69. J'ai ma bite dans sa bouche, et ma langue dans son vagin, lorsque je sens une chaleur dans mon dos. C'est Guillaume qui s'est décidé à nous rejoindre. Il bande à nouveau et m'encule d'un coup sec, sous les yeux de ma femme qui me suce:
- Il est bon ton mari, il t'a dit comme je l'ai bien baisé cette nuit. Regarde comme il aime que je le sodomise; je suis sûr que ça le fait encore mieux bander dans ta bouche.
Il me fout de bons coups de queue, puis se retire pour venir derrière ma femme. Je bouffe sa chatte, et peux le voir enfiler son cul:
- Je vais vous enculer tous les deux !
Il nous encule à tour de rôle, puis se met en position de 69 avec ma femme, et souhaite que je les encule à mon tour. Je m'exécute pour son plaisir, mais aussi le mien, et bien sûr celui de Peggy, ma petite salope chérie. Je la défonce et la regarde pomper son amant avec une envie irrésistible de sucer. Je lui dis mon désir de changer avec elle, et lui demande d’apporter les deux godes que je lui ai achetés, et je lui propose de nous fourrer le cul, à Guillaume et à moi, pendant qu'on se turlutte. Elle est hésitante pour son amant, mais il lui demande de s'exécuter. On se fait un super 69 entre mâles, et elle nous lime le fion avec ses joujoux, c’est trop bon !
Elle nous a bien fait plaisir et mérite sa récompense. On la prend en double, la chatte et le cul, dans plusieurs positions, et on la fait jouir à répétition. On vient nous aussi, et on termine dans sa bouche. Elle dévore tout, et nous remercie pour ce super moment.
Elle se prépare pour aller faire des courses, et je reste au lit avec son amant, pour dormir cette fois et récupérer.

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